Menaces de censure, dissolution de l’Assemblée nationale, isolement d’Emmanuel Macron, municipales à Nantes, … les contextes national et local n’entament pas la conviction des Jeunes en marche de Loire-Atlantique.
Les turbulences et les menaces de censure , les propos cinglants de Gabriel Attal, ancien Premier ministre et actuel secrétaire général de Renaissance, à l’adresse du Président Macron n’entament en rien son moral. Ni le flou qui entoure encore le choix des macronistes de s’allier – ou non – avec le candidat Foulques Chombart de Lauwe (LR) dans la bataille des municipales.
L’heure n’est pas à savoir si la dissolution de l’Assemblée nationale (ordonnée par le président de la République en juin 2024, après la large défaite de son camp aux Européennes) était une erreur ou pas, cela fait partie des prérogatives du chef de l’État, c’est la démocratie , jauge-t-elle, tout en concédant, que Gabriel Attal a le droit de s’exprimer en son nom .
Aller de « l’avant »
Clara Purmah fustige les jeux d’appareil, avec la droite qui durcit ses positions pour récupérer le Rassemblement national et le PS qui tente de ménager perpétuellement LFI . Elle aspire à ce que chaque groupe aille de l’avant et bosse pour doter le pays d’un budget . Les querelles locales, l’union – ou pas – de Renaissance avec LR, ne l’intéressent pas : Ce qui compte, c’est d’être au travail, et notre groupe l’est. On se rangera derrière la ligne établie par le parti .