POUR UNE EUROPE MOBILE, ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE : SAUVONS LES TRAINS DE NUIT !

POUR UNE EUROPE MOBILE, ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE : SAUVONS LES TRAINS DE NUIT !
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À l’heure où l’urgence climatique impose de repenser nos mobilités, la suppression des lignes de train de nuit Paris-Strasbourg-Vienne et Paris-Strasbourg-Berlin serait une régression inacceptable et un signal contradictoire avec les engagements de la France et de l’Union européenne.

C’est aussi un reniement d’un bilan concret en matière de ferroviaire engagé depuis 2017 : relance des trains de nuit, Pass Rail pour les jeunes, sauvegarde et réouverture de petites lignes, et un cap d’investissement inédit dans le réseau.

Parce que les trains de nuit émettent jusqu’à 20 fois moins de CO₂ qu’unvol court ou moyen-courrier, les abandonner reviendrait à tourner le dosà la transition écologique dans un contexte où chaque décision comptepour limiter le réchauffement climatique. Supprimer les trains de nuit,c’est renoncer à l’une des solutions les plus concrètes pour conciliermobilité et préservation de la planète. Nous ne voulons pas d’uneEurope qui recule, mais d’une Europe qui innove et protège son avenir.

Parce que relier Paris à Vienne ou Berlin par le rail, c’est incarner uneEurope unie, où les capitales sont accessibles à tous, sans recourirsystématiquement à l’avion. Fermer ces lignes, c’est couper un lien symbolique entre les citoyens européens et affaiblir la cohésion du continent.

Parce qu’abandonner les trains de nuit, c’est laisser le champ libre auxcompagnies étrangères ou aux low-cost aériennes, au détriment denotre indépendance et de notre influence stratégique. C’est aussi priver les jeunes, les étudiants et les classes moyennes d’une alternative abordable, pratique et durable pour voyager en Europe.

Parce que, depuis 2017, le bilan du président de la République et des différents gouvernements est concret : Pass Rail, réouverture de petites lignes, développement des trains de nuit et investissements massifs dans le ferrovaire, détricoter ce bilan et sacrifier l’avenir ferroviaire sur l’autel du déficit budgétaire serait une erreur historique.

"Le train de nuit n’est pas un vestige du passé, mais un pilier des mobilités de demain.Protégeons-le, développons-le, et faisons-en un symbole de l’Europe que nous voulons : unie, responsable et tournée vers l’avenir" - conclut Louis Roquebert, Président des Jeunes en marche.





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